Le BTS NDRC affirmant encore plus sa vocation généraliste, il n’y a plus ni secteur, ni entreprise à interdire ! La seule préoccupation est de savoir si le lieu est producteur d’apprentissages et de compétences pour l’étudiant dans le cadre fixé par le référentiel, le projet de formation de l’équipe et les aspirations professionnelles de chaque jeune.
Il n’y a pas grand changement par rapport à NRC. Il est toujours conseillé de disposer d’autorisations de sortie, De plus, à l’aide du groupe NDRC créé sur le réseau viaeduc, il y a de nombreux documents et expériences à partager à ce sujet d’autorisations pour les mineurs, etc. Il existe une proposition de convention d’action pour ces situations (site du CRM-TL).
De même que cela existait déjà en BTS NRC, oui, à condition de se plier aux exigences de l’établissement (convention d’action, autorisations nécessaires, couverture assurance, etc) et que l’action soit validée pédagogiquement par l’équipe.
Toute organisation pédagogique est acceptée si elle reflète le projet de formation de l’équipe. Il y a en la matière des équilibres à maintenir entre les différents espaces et modalités de formation (ateliers, actions, modules de différenciation, etc).
En partageant d’abord le référentiel et les programmes disciplinaires. Les activités professionnelles nécessitent l’intervention de plusieurs disciplines (ex : création de contenus digitaux, création de blogs, en anglais, en français). De plus, les savoirs associés peuvent faire référence à des savoirs disciplinaires identifiés (ex: rédactionnel, lexique, etc.)
Les espaces de partage sont nombreux : ateliers de professionnalisation, visites de stages, participation commune à des évènements, etc)
La planification et la programmation des stages relèvent du choix de chaque équipe qui propose un projet de formation. Tout est donc acceptable à condition que cela corresponde à des stratégies de formation tenant compte notamment des environnements socio-économiques, des partenariats, des publics accueillis, etc. Là aussi, des équilibres sont à garantir entre les postures d’observation, d’action, d’immersion, etc.
Pas systématiquement. Le digital correspond à une facette des profils commerciaux recherchés. Ceci étant, de plus en plus de structures se digitalisent…
Il n’y a pas de préconisations ni de guide d’équipement imposé, sachant que les financements sont régionaux et que les environnements de formation sont d’une extrême diversité. La dimension digitale du BTS NDRC oblige à repenser l’utilisation des outils numériques, y compris en ce qui concerne l’organisation des relations au sein des sections (site, réseaux sociaux, blogs, messageries, applis…)
Une plate-forme est proposée qui regroupe de nombreuses applications (Marketing automation, E-commerce, Blog, Gestion SAV, PGI, CRM, cloud, Réseaux sociaux, etc). Pour autant, chaque section est libre d’installer tout type d’application. Seules WordPress et Prestashop apparaissent comme incontournables car ce seront les applications retenues pour la partie pratique de l’épreuve E5.
Là encore, cela est lié au choix et à la stratégie de l’équipe tout comme à la différenciation selon les expériences professionnelles des uns et des autres.