Il est recommandé aux enseignants, formateurs ou tuteurs en entreprise de s’inscrire à ce Forum VIAEDUC du Réseau Canopé.
Une seule situation réellement vécue est exigée a minima. Pour le reste, il s’agit pour le candidat de s’appuyer sur ce qu’il a pu observer dans son entreprise ou d’autres entreprises, sur ses connaissances, sur ce qu’il a simulé dans les ateliers de professionnalisation, sur ce qu’il a reçu comme témoignage, et sur tout autre type de documentation, pour pouvoir proposer, décrire, conceptualiser et analyser une expérience réseau.
Il est vrai que la notion de partenaire est essentielle pour installer la logique de réseau. La notion de « partenaire » relève d’une approche contractuelle. Le partenariat repose sur des accords formels et institués avec des fournisseurs, des distributeurs, certains types de clients, des apporteurs d’affaires, des acteurs économiques, d’autres entreprises, etc. Ces accords portent sur des éléments qui peuvent être très différents (conditions commerciales, droit d’entrée, contacts privilégiés, coopérations commerciales, etc.). Ils supposent aussi la plupart du temps des obligations des deux parties.
Il n’est pas souhaitable que l’étude réflexive guide a priori les activités. L’étude réflexive se construit, ex-post, à partir des activités et la capacité du candidat à trouver un fil conducteur entre ses expériences réseau qui lui permet de prendre de la hauteur et de s’immerger dans la culture réseau, d’en saisir les enjeux et de la comprendre dans toute sa diversité mais aussi ses invariants.
L’étude réflexive valorise ainsi l’expérience réseau des candidats. Le thème est donc profondément lié aux activités réalisées et ne peut être « hors sol ».
Elle n’apparait pas en tant que telle mais peut irriguer/contribuer à chacun des items de la grille d’évaluation.
Oui, ces liens peuvent exister. Bien au-delà de l’étude réflexive, rien n’interdit voire même est-il souhaitable en formation de lier ces enseignements entre eux.
L’étude réflexive est l’une des occasions privilégiées pour mettre en avant une réflexion sur les dimensions juridique, économique et managériale des réseaux étudiés. Les éléments abordés en CEJM appliquée trouveront donc toute leur place, tout comme les activités professionnelles au sein de ces réseaux pourront constituer d’excellents points d’appui pour acquérir la CEJM.
La fiche d’activité publiée est un modèle constituant un « document de travail ». Elle figurera sous une forme « officielle » dans la circulaire d’organisation mais pourra aussi évoluer à la marge, essentiellement sur des aspects de forme. Quelques rubriques énoncées dans le texte du référentiel sont cependant incontournables et ne peuvent être absentes de la fiche.
Il est préférable d’éviter d’inventer une situation au risque de retomber sur un traitement purement théorique et abstrait, Il est possible de partir d’un contact réel lors d’une intervention en cours ou encore lors de l’organisation d’actions avec des professionnels de réseau. Oui, on peut partir de l’intervention d’un professionnel, pour ceux seulement qui n’auront pas rencontré des activités d’animation et qui devront alors se rabattre sur des activités « observées ».
Comme il a été dit dans la partie formation, il est possible d’engager les étudiants dans la conceptualisation collective d’activités ou dans la réalisation d’une action collective, à condition que la formalisation écrite dans une fiche soit le fait de chaque étudiant et sans pour autant préjuger de son choix pour la sélectionner en vue de la certification
Les animations « non vécues » peuvent être des expériences d’animations recueillies par témoignage, entretien, enquête voire simple observation passive, etc.
Les activités de ciblage/prospection sont effectivement évaluées en E4. Ceci étant, selon les contextes et la manière de les appréhender, de les conceptualiser, elles peuvent donner lieu à la mobilisation de compétences appartenant aux blocs 2 et 3, notamment quand ces activités visent également l’animation et l’activation de réseaux de partenaires. Comme il a été vu plus haut, la manière de conceptualiser peut être différente pour une même activité.
La notion de réseau est attachée à celle de partenariats formalisés (voir plus haut). Il ne s’agit pas d’assimiler une équipe de vente à un réseau formel de partenaires. A moins que cette équipe de vente soit constituée de vendeurs externes liés par des relations d’affaires contractualisées…
Les banques sont constituées en réseau, il n’y a donc pas de limite à explorer ce type de réseau particulier. Il reste à bien identifier et analyser comment se constitue, se développe ou pas ce réseau, comme se construit la sélection des partenaires, etc. Il ne faut pas négliger aussi le fait que les banques, indépendamment du fait qu’elles soient constituées en réseau, créent elles-mêmes leurs réseaux de clientèle.
Ce serait trop modélisant que de proposer ce type de fiche, car on les verrait se reproduire à l’identique pour des milliers de candidats. Ces fiches doivent être le reflet de chaque candidat et ne peuvent en aucun cas constituer des exemples. Ces fiches traduisent la capacité de chaque jeune à rendre compte d’expériences professionnelles qui lui appartiennent. A-t-on d’ailleurs publié pour d’autres épreuves des exemples de copies d’examen, des dossiers candidats déjà réalisés ?
Encore une fois, toute épreuve permet l’évaluation par sondage des compétences. Il n’y a donc pas obligatoirement exhaustivité. Pour autant, les grilles d’aide à l’évaluation (il ne s’agit bien que d’une « aide » pour les jurys) proposent l’intégralité des compétences liées à l’épreuve. Il est habituel dans ces cas-là d’évaluer par profil et non compétence par compétence, pour justement porter une appréciation globale.
Par contre, il est effectivement important de chercher à ce qu’en formation un jeune acquiert la totalité des compétences. Ce qui peut conduire à combiner les supports d’épreuve.
Oui, l’implantation de l’offre peut concerner aussi les réseaux de distributeurs indépendants (pharmaciens, commerçants indépendants, franchises, etc…)
Comme il a été dit précédemment :
— Activité réelle : qui correspond à une réalité;
— Activité réelle vécue : qui correspond à une implication effective et active du candidat dans un contexte réel;
— Activité réelle observée : qui correspond à une posture d’observation d’activités ayant lieu dans un contexte réel;
— Activité simulée : qui correspond à un contexte reconstitué et didactisé;
— Activité témoignée : qui correspond à la restitution par une personne d’une réalité.
L’idée principale est de savoir s’il a vécu ou pas une réelle immersion dans le réseau considéré. Pour le reste, il y a lieu de bien distinguer les compétences et les activités réalisées. Les compétences ne renvoient pas à des phases, ce sont les activités, les situations professionnelles qui peuvent être attachées à des phases. Evaluer une compétence, ce n’est pas évaluer des gestes professionnels, ni la découper strictement selon les activités réalisées mais bien de l’approcher à partir de l’expérience globale faite au sein du réseau. Le candidat peut très bien n’avoir réalisé qu’une partie des activités réseau et avoir été cependant suffisamment formé pour très bien maitriser ce qui s’est fait en amont à d’autres moments, voire par d’autres. Comme il a été dit dans la partie formation, il doit être en mesure de « conceptualiser » certaines phases qu’il n’a pas réellement vécues.
Voir plus haut la définition d’un réseau. Oui, si cette cible est construite à partir de liens formalisés et institués (par exemple : une autorisation donnée par des autorités pour visiter telle ou telle cible en se prévalant dans les cas cités d’une qualité reconnue par le ministère, l’ordre des avocats, etc).
Merci beaucoup pour votre aide.
Je m’occupe également de l’épreuve E6.
Je surveille attentivement votre site pour avoir des informations complémentaires.
Bravo et encore pour votre travail
Bonjour Charlotte, merci pour vos encouragements ! Dans moins de 4 semaines l’ensemble des informations nécessaires à cette épreuve seront disponibles et libres d’accès. Cordialement.
Pour les situations non réellement vécues, il n’y a donc pas de certificat à fournir au dossier support de l’épreuve E6 ?
Pour les situations vécues en stage avant la formation BTS NDRC, l’expérience est-elle recevable ? y compris si inférieure à 8 semaines? le certificat de stage est-il requis au dossier ?
Dans tous les cas, il vous faut pouvoir justifier de vos semaines de stage. Il faut que votre document administratif soit à jour. Votre formateur sait tout cela en principe.
Bonjour,
La liste de ressources et support doit rassembler tout les outils que l’on a utilisé au cours de nos actions commerciales , faut-il apporter tout les outils le jour de l’épreuve car certaines fiches étant fictives, il y aura forcement des outils fictifs et certains dans le cas des situations réels ne pouvant être apportés, ce serait pour savoir finalement si les jurés nous demanderont la présence matérielle de certaines ressources et support?
Bonjour Florian, tout ce que vous mentionnerez dans la liste devra être disponible le jour de l’oral. Concernant une situation simulée, vous devrez de toute façon amener votre veille, votre enquête sur sphinx en ligne, votre diagnostic écrit… Bref il y a pas mal de choses à faire et à emporter. Concernant la situation vécue, certains éléments peuvent être photographiés bien sûr, si vous faites par exemple une animation pour des imprimantes… des photos seront utiles. J’en profite pour rappeler aux élèves qui recherchent une expérience vécue en animation que des entreprises comme CIRCULAR, vous permet de prouver des compétences.
Bonjour, je suis dans l’incapacité de comprendre réellement quoi faire pour mon analyse réflexive des 3 fiches E6 … J’espère que vous pouvez me répondre.
Merci d’avance. Guillaume
Bonjour Guillaume, C’est prévu pour la semaine du 16 mars et le document sera libre en téléchargement. A bientôt.
Bonjour, ou trouver le document ? Cordialement
Bonjour Thibaud, tout est ici : Fiches et documents à télécharger Cordialement.